Instant de mélancolie, de nostalgie, de déprime...
Un an
Un an c'est comme un siècle
On se dit qu'on a le temps, que c'est loin...
Puis un matin on se réveil et l'année est passée...comme une seconde...
Et nous on est là et on a rien vu, on a pas bougé.
Durant ces 365 jours on a répété les mêmes gestes, dits les mêmes conneries, pleuré les mêmes larmes...
Mais il y un an on pleurait en se souvenant de se que l'on a perdu...et aujourd'hui on pleure d'avoir oublié, d'avoir perdu ces souvenirs...
Et dans nos têtes on avait toujours le temps...
Mais nous n'avons pas changé, n'avons pas réalisés nos désirs, nos souhaits.
Nous sommes restés sur place, immobiles, paralysés par ce poid si lourd : cette putain de lâcheté, ce manque atroce de courage.
On a pas avoué nos regards, pas réussi a comprendre nos sentiments, pas réussi a hurler la douleur qui nous ronge, les blessures qui nous affaiblissent...
Et on pleure, on arrive pas a tourner la page, on espère encore et encore malgré la raison, on prend la moindre étincelle pour le plus beau des feu, le mondre regard pour une déclaration d'amour. Et on espère, on s'image encore et toujours, on prend nos rêves pour des réalités possibles et puis on tombe, on ouvre les yeux, on se fait pitier à soi-même d'y avoir cru, d'y croire et de savoir qu'on y croira encore.
Un an après on croit en avoir fini, mais on se réveil, on se rapelle, et tout revient, les larmes, les espérances, les regrets, les rêves, les peurs...Peur. Peur de ne plus jamais le voir, lui parler. Peur de ne jamais pouvoir lui expliquer. On y a cru si fort, qu'on y croit encore.
Et cette impression, de le connaitre par coeur, mieu que personne, de savoir qu'au fond de lui je ne suis pas...morte. Cette certitude qu'il y a une suite, que cette histoire n'est pas fini, qu'il existe encore un lien, si petit qu'il puisse être...
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Sorry but miss you
...
my friend ?
Sorry but miss you
...
my friend ?