fee-seline
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Mercredi 21 mars 2007 à 13:14
A ne pas écouter quand vous êtes déprimé...ou quand vous regreté un amour passé...
L'adieu - Garou
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
Est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu
N'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu
C'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m'embrasse
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh l'adieu !
L'adieu
C'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
C'est le loup blanc dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh l'adieu !
Oh l'adieu !
L'adieu - Garou
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
Est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l'ombre du plaisir
L'adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L'adieu
N'est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d'autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L'adieu
C'est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m'embrasse
Nous n'aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu'on s'était choisi
Est fort le moment de partir
Oh l'adieu !
L'adieu
C'est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s'interrogent
Que l'amour est tombé à l'eau
D'un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j'en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t'ai entendu me dire
À la faveur d'un chemin creux
Ou d'une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L'adieu
C'est le loup blanc dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L'adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l'avenir
Oh l'adieu !
Oh l'adieu !
Paroles et Musique: Didier Barbelivien
Vendredi 16 mars 2007 à 9:37
J'y crois encore - Yannick Noah
Même si la route semble trop longue
Que tous les murs s'effondrent sur moiQuand sur le ring ils me comptent
Ma vie se trouble à chaque pas
Même quand les coups me font un peu trop mal
Que mes envies se font plus pâles
Moi j'y crois encore
Oui j'y crois encore
J'y crois encore et encore plus fort
Oh j'y crois
Oui j'y crois encore
Oui j'y crois encore
J'y crois encore et encore plus fort
Oh j'y crois
Oui j'y crois encore
Quand ta main doucement me laisse
Que tes beaux yeux ne me cherchent plus
Quand même mes doux mots te blessent
Tu restes mais tu n'y crois plus
Bien au delà du raisonnable
Plus haut que les châteaux de sable
Que tes beaux yeux ne me cherchent plus
Quand même mes doux mots te blessent
Tu restes mais tu n'y crois plus
Bien au delà du raisonnable
Plus haut que les châteaux de sable
Moi j'y crois encore
Oui j'y crois encore
J'y crois encore et encore plus fort
Oh j'y crois
Oui j'y crois encore
Oui j'y crois encore
J'y crois encore et encore plus fort
Oh j'y crois
Oui j'y crois encore
-*-*-*-*-*-*-*-
Il parait que les femmes n'oublient jamais leur premier amour...pardon d'en être une...
Mais j'essayerai de ne plus y penser...j'essayerai
Il parait que les femmes n'oublient jamais leur premier amour...pardon d'en être une...
Mais j'essayerai de ne plus y penser...j'essayerai
Lundi 5 février 2007 à 18:43
Je ne connaissait pas encore cette chanson de Marc Lavoine. J'ai encore beaucoup a découvrir de lui.
En tout cas cette vidéo est...magnifique. Bravo à celle/celui qui l'a faite.
En tout cas cette vidéo est...magnifique. Bravo à celle/celui qui l'a faite.
Marc Lavoine - Midnight - Ici-bat
(si ça marche pas c'est par ici)
Marc Lavoine - Ici-bat
Cette froide violence en toi
La supporter j'y arrive pas
Je sais plus c'que tu penses de moi
Quand tu n'me regardes pas
Excuse-moi d'y avoir cru
C'est une faiblesse que j'ai eue
Je pensais pas le monde si cru
Je sais plus si on s'dit tu
J'suis pas dans mon assiette
J'suis comme une impasse
Dans les oubliettes
Mais j'oublie pas
Quand j'vais quelque part c'est debout
J'vais quand même pas me mettre à genoux
Même si mes rêves c'est rien du tout
Je préfère mes histoires de fou
Mais faut qu'tu saches avant qu'j'y aille
Qu'on a tous la même entaille
Que moi aussi j'ai l'cœur qui baille
Y a pas qu'chez toi qu'ça caille
On s'reverra plus
On s'reverra p't-être
Qui sait
J'suis qu'un inconnu
Dans les oubliettes
Mais j'oublie pas
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Ici-bas
Mon petit boxeur
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Pardon j'peux pas vivre ça
Moi sans confiance j'y arrive pas
J'ai une autre opinion de toi
Celui à qui j'en veux c'est moi
J'comprends tellement tout
Tout ça c'est si bête
Un malentendu dans les oubliettes
Mais j'oublie pas
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Ici-bas
Mon petit boxeur
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Ici-bas
Mon petit boxeur
(si ça marche pas c'est par ici)
Marc Lavoine - Ici-bat
Cette froide violence en toi
La supporter j'y arrive pas
Je sais plus c'que tu penses de moi
Quand tu n'me regardes pas
Excuse-moi d'y avoir cru
C'est une faiblesse que j'ai eue
Je pensais pas le monde si cru
Je sais plus si on s'dit tu
J'suis pas dans mon assiette
J'suis comme une impasse
Dans les oubliettes
Mais j'oublie pas
Quand j'vais quelque part c'est debout
J'vais quand même pas me mettre à genoux
Même si mes rêves c'est rien du tout
Je préfère mes histoires de fou
Mais faut qu'tu saches avant qu'j'y aille
Qu'on a tous la même entaille
Que moi aussi j'ai l'cœur qui baille
Y a pas qu'chez toi qu'ça caille
On s'reverra plus
On s'reverra p't-être
Qui sait
J'suis qu'un inconnu
Dans les oubliettes
Mais j'oublie pas
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Ici-bas
Mon petit boxeur
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Pardon j'peux pas vivre ça
Moi sans confiance j'y arrive pas
J'ai une autre opinion de toi
Celui à qui j'en veux c'est moi
J'comprends tellement tout
Tout ça c'est si bête
Un malentendu dans les oubliettes
Mais j'oublie pas
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Ici-bas
Mon petit boxeur
Ici-bas
Ici bat mon cœur
Ici-bas
Mon petit boxeur
Fée Seline
Dimanche 4 février 2007 à 23:45
J'aimerais tant pouvoir chanter cette chanson a quelqu'un...patience...
Joe Dassin
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.
Et si tu n'existais pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.
Et si tu n'existais pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.
Et si tu n'existais pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.
Et si tu n'existais pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.
Et si tu n'existais pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.
Et si tu n'existais pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.
Joe Dassin