Et voila...Encore un jour de perdu...
Ce soir je prerçoit dans le ciel la dernière lueure du jour qui veut encore embrasser la Terre, la serrer dans ses bras, la réchauffer l'embellire de ses rayonnements...
Mais de gros nuages gris l'en empèchent, lourds, épais, invicibles...
Ou alors est-ce le Soleil, paralysé par se trop plein de désire qui se cache derière ?
Je suis comme cette dernière lueure, je veux l'embrasser, le serrer dans mes bras, lui dire que je l'aime, le rassurer.
Mais je ne sais pas si quelque chose m'en empèche ou si c'est moi qui me cache derrière, paralysée par mon désire.
Il faut que je lui dise avant que j'en crève...
Ce soir le désespoir m'accable, me mine, me rétame.
Je n'y crois plus à ton amour, comment pourrais tu m'aimer ??
Il y a 8 mois jours pour jours que tu m'a larguée.
Je suis minable.
Une petite gamine qui croit encore au prince charmant.
Je suis pathétique.
Je me prend la tête et me pourris la vie alors qu'elle pourrait être si belle...
Mais je t'aime.
Là n'est pas vraiment le problème.
Le problème c'est que je n'ose pas te le dire et que je ne sais pas quoi penser.
M'aime-il ? Un jour oui, l'autre non.
Aujourd'hui c'est non...
Demain sera peut-être mieux...qui sait...
-- Caresse moi --
Yves Jamait
Le vois-tu venir mon amour
Ce dimanche avec sa gueule moche
Ce cancrelat qui tourne autour
De ce jour triste comme un son d'cloche
Oh temps suspends mes heures de vol
Et couvre mon coeur de patine
Quand la déprime me racole
Que ses maux de passe me chagrinent
Entends-tu la marche funèbre
De cette semaine qui crève
A cette détresse une trêve
Poser ma bouche sur tes lèvres
Caresse moi Caresse moi
J'ai le ventre gonflé de larmes
Ce soir la vie me rétame
Caresse moi Caresse moi
Caresse moi Caresse moi
Ne laisse pas ce jour vieillir
Sans poser avant qu'il n'expire
Tes mains sur moi Caresse moi
C'est un dimanche comme tant d'autres
Qui déjà me vide le coeur
Une petite bête noire se vautre
Impunément sur mes humeurs
J'ai la déprime à fleur de peau
Et l'automne dans les entrailles
Pas une bière placebo
Ne peut soigner ce qui m'entaille
Et toujours la marche funèbre
De cette semaine qui crève
A cette détresse une trêve
Poser ma bouche sur tes lèvres
Caresse moi Caresse moi
J'ai le ventre gonflé de larmes
Ce soir la vie me rétame
Caresse moi Caresse moi
Caresse moi Caresse moi
Ne laisse pas ce jour vieillir
Sans poser avant qu'il n'expire
Tes mains sur moi Caresse moi
Ce soir je prerçoit dans le ciel la dernière lueure du jour qui veut encore embrasser la Terre, la serrer dans ses bras, la réchauffer l'embellire de ses rayonnements...
Mais de gros nuages gris l'en empèchent, lourds, épais, invicibles...
Ou alors est-ce le Soleil, paralysé par se trop plein de désire qui se cache derière ?
Je suis comme cette dernière lueure, je veux l'embrasser, le serrer dans mes bras, lui dire que je l'aime, le rassurer.
Mais je ne sais pas si quelque chose m'en empèche ou si c'est moi qui me cache derrière, paralysée par mon désire.
Il faut que je lui dise avant que j'en crève...
Ce soir le désespoir m'accable, me mine, me rétame.
Je n'y crois plus à ton amour, comment pourrais tu m'aimer ??
Il y a 8 mois jours pour jours que tu m'a larguée.
Je suis minable.
Une petite gamine qui croit encore au prince charmant.
Je suis pathétique.
Je me prend la tête et me pourris la vie alors qu'elle pourrait être si belle...
Mais je t'aime.
Là n'est pas vraiment le problème.
Le problème c'est que je n'ose pas te le dire et que je ne sais pas quoi penser.
M'aime-il ? Un jour oui, l'autre non.
Aujourd'hui c'est non...
Demain sera peut-être mieux...qui sait...
Fée Seline
***-- Caresse moi --
Yves Jamait
Le vois-tu venir mon amour
Ce dimanche avec sa gueule moche
Ce cancrelat qui tourne autour
De ce jour triste comme un son d'cloche
Oh temps suspends mes heures de vol
Et couvre mon coeur de patine
Quand la déprime me racole
Que ses maux de passe me chagrinent
Entends-tu la marche funèbre
De cette semaine qui crève
A cette détresse une trêve
Poser ma bouche sur tes lèvres
Caresse moi Caresse moi
J'ai le ventre gonflé de larmes
Ce soir la vie me rétame
Caresse moi Caresse moi
Caresse moi Caresse moi
Ne laisse pas ce jour vieillir
Sans poser avant qu'il n'expire
Tes mains sur moi Caresse moi
C'est un dimanche comme tant d'autres
Qui déjà me vide le coeur
Une petite bête noire se vautre
Impunément sur mes humeurs
J'ai la déprime à fleur de peau
Et l'automne dans les entrailles
Pas une bière placebo
Ne peut soigner ce qui m'entaille
Et toujours la marche funèbre
De cette semaine qui crève
A cette détresse une trêve
Poser ma bouche sur tes lèvres
Caresse moi Caresse moi
J'ai le ventre gonflé de larmes
Ce soir la vie me rétame
Caresse moi Caresse moi
Caresse moi Caresse moi
Ne laisse pas ce jour vieillir
Sans poser avant qu'il n'expire
Tes mains sur moi Caresse moi