fee-seline

Welcome...

Mercredi 5 novembre 2008 à 19:30

Jalouse, possessive, indécise et perdue. Ca fait beaucoup vous ne trouvez pas ? En tout cas pour moi c'est trop. Il y a une question qui se pose à moi, un choix qui soulève tant de questions... Ca pourrait être si simple. Après tout je pourrai simplement penser non ou je pourrai simplement penser oui. Le problème est dans le "ou". Il n'y a pas de "ou" qui tienne n'est-ce pas ? J'ai peur enfaite. Peur de quoi ? Oula, par où commencer ? Déjà, peur de me tromper. Peur de tout foiré comme je l'ai déjà fait une fois. Peur de te faire du mal. Peur de te faire rater une belle histoire d'amour pour peut-être te faire souffrir. Peur de m'enfermer à nouveau dans mon silence et les non-dits. Peur biensur de toujours la même chose mais ça.... ça passera avec le temps et puis surtout ça ne s'écrit pas sur un blog. Peur de dire des choses blessantes et pourtant il faudra bien que je le fasse un jour.

Laisser faire le temps. Ne pas essayer de refaire le passer mais refaire le présent. Juste être honnête. Pfiou j'ai trop de choses à dire. Bon j'arrête ici pour cet article mais le discours est encore long.
Pas de conclusion, trop dure à choisir.
Juste :BISOUS

Mardi 4 novembre 2008 à 21:03

J'AI MAL PUTAIN J'AI MAL !!!

NAN C'EST PAS VRAI, J'IMAGINE DES CHOSES, JE ME TROMPE !!!!

AIE !!

:'( :'( :'(

Mardi 4 novembre 2008 à 20:00

Je sais pas. Peut-être. Mais ce qui est sur c'est que ce sentiment violent qui me ronge, lui est bien présent. Ca va plutôt dans le sens du oui c'est sur. Je me fais peut-être des films. 'tin ça fait mal pi c'est débile ce sentiment ! Quelle conne. Bah c'est bien fait pour moi. C'est l'effet boomerang, ou la vengeance de la vie. Je sais pas. Bon parcontre ce que je sais aussi c'est que là tout de suite, tu me manques. Faut que j'arrete la machine à film, que j'arrete d'imaginer ce qui a pu se passer, je me fais du mal. Quand bien même il se serait passé quelque chose je ne peux qu'être contente pour toi (enfin dans la version officielle). Tu sais quoi ? ..... Je sais pas. Mais ce que je sais c'est que plus jamais je pourrai te laisser repartir, que ce soit d'une façon ou d'une autre, tu seras toujours là enfin je l'espère. Et pour finir, même si je ne sais pas, ce que je sais c'est que j'ai passé un très bon après-midi.

What do you think about this ?

Dimanche 2 novembre 2008 à 19:47

"La confiance est une petite flamme qui n'éclaire rien mais qui réchauffe."
 
    Je ressens la fraîcheur qui commence à me glacer le dos. Je ne sais plus. Où es-tu ? Est-ce que tu me mens ? Y en a-t-il une autre ? Ca serait normal en même temps. Comment pourrais-je te reprocher de me cacher cela ou simplement de ne pas m'envoyer de message chaque jour ? Quel monstre je suis. Je doute. Quel monstre je fais de douter de ta parole. Toi tu ne peux pas mentir. Si tu me mens, alors je ne peux plus faire confiance à personne sur cette Terre. Si tu me mens, alors la confiance n'est plus qu'un mot dénué de sens.
   
    Non, je ne suis pas Jalouse. Jamais, je n'ai jamais été Jalouse. D'ailleurs je ne connais pas ce mot :

 
Ca veut dire quoi "Jalouse" ? HEIN ??!! CA VEUT DIRE QUOI !!??
 
    Et j'imagine... toi plongeant tes yeux dans ceux d'une inconnue et l'admirant, faisant d'elle Ta Perfection. Elle, à ma place. Un poignard dans le coeur, ça me fait. Tu te souvient ? Celui que j'ai planté dans le tiens voilà bientôt un an. Il s'est retourné contre moi. Bien fait.
    Qui l'eu cru ? Pas moi. J'ai changé. Toi aussi tu as changé. Qu'est-ce qu'il se passe ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Perdue ? Moi ? Tout à fait.

Envie de te voir. Peur de te voir partir.
 
  
Jalouse moi ? JA-MAIS
(enfin... presque)

Samedi 18 octobre 2008 à 18:41

                    Il est tard, non enfaite pas très tard Mais en tout cas trop tard pour que toi en moi on se voit. Et surtout pour que moi je vienne jusqu'à chez toi. Ne me demande pas de me souvenir du temps où je venais même par mauvais temps, Quand je venais à n'importe quelle heure, avec le sourire et des fleurs. Parce que ce temps là moi quand j'y repense, je me dis que c'était un autre que moi, mais surement plus moi. Je ne me souviens plus de la première fois où je me suis dit "je ne t'aime plus". Je ne sais pas pourquoi d'un jour à l'autre, tout ce qui me plaisait m'a d'un coup énervé chez toi. J'aime plus les bruits que tu fais quand tu dors, j'aime plus ton rire je le trouve toujours trop fort. Alors je quitte la pièce mais même là je te jure que je l'entends quand même Ces choses là ne s'arrangent pas, ne me dit plus jamais que tu m'aime, parce que quand tu dis ça j'ai l'impression d'être un monstre. Mais comment je peux penser ça de toi, je te regarde assise là et je vois : Quelqu'un qui m'a toujours voulu que du bien mais Quelqu'un qui m'a dit oui quand je lui ai dit viens, Quelqu'un que j'ai l'impression d'avoir toujours connu  Mais quelqu'un que je ne connais plus. Je ne te regarde pas, je ne te souris pas je ne fais pas attention à toi. A chaque fois qu'on voit des gens c'est simple, dès qu'il y a quelqu'un d'autre pour moi t'existes plus vraiment. J'ose même plus penser à notre mono position sexuelle, bienvenu au royaume de la relation bimensuelle. C'est triste de se dire qu'il ne nous reste plus que des souvenirs. C'est dur à dire mais faut bien le dire. Alors je compte jusqu'à trois et je commence à parler. Toi tu commence à paniquer, je vois tes yeux devenir tous rouges pendant que tu montre la porte du doigt en gueulant "Bouge bouge de chez moi" En descendant la cage d'escalier je presse le pas pour plus t'entendre crier. Ça y est je fuis, quelqu'un à du rajouter des marches ou alors c'est l'effet du H, mais plus je m'échappe, plus ta voix me rattrape. Pendant que tu descends, je sais maintenant que l'abandon est un crime et la fuite son châtiment Pour Quelqu'un qui m'a toujours voulu que du bien mais Quelqu'un qui m'a dit oui quand je lui ai dit viens, Quelqu'un que j'ai l'impression d'avoir toujours connu  Mais quelqu'un que je ne connais plus...
Batlik - l'abandon

* * * * *
J'ai failli pleuré en écoutant cette chanson... Ces mots sont durs mais pourtant il représentent bien ce que je ressentais. J'ai été lâche... tellement lâche... Ne pas vivre avec des regrets dit-on ? Raté.

"Je suis un monstre, comment j'ai pu pensé ça de toi ?"
"L'abandon est un crime..."


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