8 ans qu'il s'est suicidé.
Qu'est-ce que le suicide ? Un acte de lâcheté ou de courage ? A priori mon opinion me porterai plutôt à dire que c'est un acte de lâcheté. C'est une fuite face aux souffrances que l'on endure. Ces souffrances pourtant nous sommes nombreux à les endurer, quelque soit leur nature. Il y en a des plus rudes que d'autres, des plus compréhensibles que d'autres, mais c'est toujours difficile. Le suicide est un échappatoire à toutes ses souffrance. Elles ont atteintes un seuil si extrême qu'elles ne laissent plus de place au bonheur, alors la personne décide d'arrêter. De refuser ce cadeau qu'on lui a fait à sa naissance car il s'est avéré empoisonné. Mais combien sommes nous à souffrir ? Combien de gens on perdu un proche ? Enfant, parent, frère, cousin.... ? Pourtant on vit avec, on a décidé que nous étions encore là, avec la souffrance, mais toujours là. Sans ceux qui nous manquent mais nous sommes là... Et combien sommes-nous à ne trouver aucun sens à nos vie ? A sentir ce poids sur notre cœur sans cesse ? A se sentir incapable à faire quelque chose de bien ? A ressentir le désespoir qui nous envahi ? Mais nous somme là, nous survivons parfois ! Pourquoi ? Pourquoi nous restons là malgré tout ? Pour tous les bonheurs qu'on a eu et qu'on aura un jour. On le sait qu'il faut payer, mais si c'est ça le prix alors on le paye parce que rien ne vaut les petits ou les grands bonheurs. Rien ne vaut le sourire de quelqu'un qu'on aime, rien de vaut un instant d'éternité, rien... Pourtant... on a tous songé un jour ou l'autre, plus ou moins sérieusement, à en finir. On s'est tous dit un jour "si j'en finissais, je ne souffrirais plus, ça serait plus simple.." Mais nous n'avons jamais été jusqu'à réaliser cette acte de donner fin à sa vie. Imaginez-vous, le couteau dans les mains, la corde à la main, prêt à sauter au bord du vide... Est-ce si facile que ça de dire adieu à tous ce que l'on a connu et d'aller vers l'inconnu, vers le néant, vers cette chose que l'on appelle la mort mais dont on ne sait rien ? "Passer à l'acte"... ne faut-il pas du courage pour se donner la mort ? Je ne sais pas. Chaque cas est particulier. Plus rien ne compte quand on est arrivé à ce point, que l'obsession de ne plus souffrir, ne plus souffrir... Oui c'est un abandon et une lâcheté, mais le passage à l'acte n'est certainement pas si facile qu'on peut le penser... Il n'y a pas de réponse précise je pense... La question reste ouverte.
J'ai écrit un jour que je t'en voulais d'être parti sans regarder derrière toi le mal que ça ferrait à ceux qui était encore là. J'ai écrit un jour que j'avais de la haine envers toi. Mais je ne peux pas te juger, je ne sais pas ce que c'est. Cette douleur là je ne la connait pas. Oui tu as fait une énorme bêtise à mon sens en partant, mais non je ne t'en voudrai plus, je n'ai pas le droit...
Qu'est-ce que le suicide ? Un acte de lâcheté ou de courage ? A priori mon opinion me porterai plutôt à dire que c'est un acte de lâcheté. C'est une fuite face aux souffrances que l'on endure. Ces souffrances pourtant nous sommes nombreux à les endurer, quelque soit leur nature. Il y en a des plus rudes que d'autres, des plus compréhensibles que d'autres, mais c'est toujours difficile. Le suicide est un échappatoire à toutes ses souffrance. Elles ont atteintes un seuil si extrême qu'elles ne laissent plus de place au bonheur, alors la personne décide d'arrêter. De refuser ce cadeau qu'on lui a fait à sa naissance car il s'est avéré empoisonné. Mais combien sommes nous à souffrir ? Combien de gens on perdu un proche ? Enfant, parent, frère, cousin.... ? Pourtant on vit avec, on a décidé que nous étions encore là, avec la souffrance, mais toujours là. Sans ceux qui nous manquent mais nous sommes là... Et combien sommes-nous à ne trouver aucun sens à nos vie ? A sentir ce poids sur notre cœur sans cesse ? A se sentir incapable à faire quelque chose de bien ? A ressentir le désespoir qui nous envahi ? Mais nous somme là, nous survivons parfois ! Pourquoi ? Pourquoi nous restons là malgré tout ? Pour tous les bonheurs qu'on a eu et qu'on aura un jour. On le sait qu'il faut payer, mais si c'est ça le prix alors on le paye parce que rien ne vaut les petits ou les grands bonheurs. Rien ne vaut le sourire de quelqu'un qu'on aime, rien de vaut un instant d'éternité, rien... Pourtant... on a tous songé un jour ou l'autre, plus ou moins sérieusement, à en finir. On s'est tous dit un jour "si j'en finissais, je ne souffrirais plus, ça serait plus simple.." Mais nous n'avons jamais été jusqu'à réaliser cette acte de donner fin à sa vie. Imaginez-vous, le couteau dans les mains, la corde à la main, prêt à sauter au bord du vide... Est-ce si facile que ça de dire adieu à tous ce que l'on a connu et d'aller vers l'inconnu, vers le néant, vers cette chose que l'on appelle la mort mais dont on ne sait rien ? "Passer à l'acte"... ne faut-il pas du courage pour se donner la mort ? Je ne sais pas. Chaque cas est particulier. Plus rien ne compte quand on est arrivé à ce point, que l'obsession de ne plus souffrir, ne plus souffrir... Oui c'est un abandon et une lâcheté, mais le passage à l'acte n'est certainement pas si facile qu'on peut le penser... Il n'y a pas de réponse précise je pense... La question reste ouverte.
J'ai écrit un jour que je t'en voulais d'être parti sans regarder derrière toi le mal que ça ferrait à ceux qui était encore là. J'ai écrit un jour que j'avais de la haine envers toi. Mais je ne peux pas te juger, je ne sais pas ce que c'est. Cette douleur là je ne la connait pas. Oui tu as fait une énorme bêtise à mon sens en partant, mais non je ne t'en voudrai plus, je n'ai pas le droit...