fee-seline

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Jeudi 23 avril 2009 à 21:18

J'en connais qui tournent en rond
Ou qui longent les murs en comptant les saisons
J'en ai vus des dépourvus
Des nouveaux départs qui nous mènent nulle part
Des guerriers à la télé,
Des héros dans ma salle à manger
J'en ai lu des histoires vraies
Mais la question que j'me pose
Sans cesse : Où j'pourrais trouver

Du Courage

Tu vois c'est tellement mieux
Quand on est sûr de soi
Que l'on porte au bout des doigts
De la force et l'espoir
D'aller chercher plus loin en n'ayant peur de rien
De sonner à la porte de l'inconnu sans aucune retenue
Et parler c'est si léger
Mais la question que j'me pose
Sans cesse : Où j'pourrais trouver

Du Courage

Quand je vais dans la forêt
Que les bras m'en tombent comme le Petit Poucet
Des cailloux j'en ai trouvés
Mais la question que j'me pose
Sans cesse : Où j'pourrais trouver

***

La Grande Sophie - Du courage

 
Par un ami tout de meme le Mercredi 29 avril 2009 à 12:42
Sur la route
Ce chemin qui est mien, ce n’est rien mais j’y tiens.
Je l’arbore humble et fier cette voie est pour moi.
Un fardeau fait de mots, construite et faite de rien.
Je l’entends sous mes pas chaque foi j’ai le choix.
Pendant quelques instants, au carrefour de nos vies
Rires et délires rythme nos courtes histoires.
Nos destins qui se croisent, enlacent nos mémoires
De souvenirs déments, à jamais, bien enfouis.
Quelques années d’une vie, quelques vrais amis,
Et la vie nous sourit. Bientôt nous partirons,
Nous nous éloignerons. Mais tout n’est pas fini,
La route tournera, nous nous recroiserons.
Chaque été notre devoir est de se retrouver
Afin que chacun ne puisse se dérober

un ami a toi de trouver
Par un ami tout de meme le Mercredi 29 avril 2009 à 12:44
Il y a dans l’amour comme dans la haine
Un peu de cet extrême qui fait de la peine.
Dans une romance qui s’en va en galère
Les deux amants perdus ensemble partent en guerre

La douce brise d’été fleurte avec l’orage.
Il ne brûle que pour elle. Elle murmure a l’oreille
Un éclaire survient et repars le carnage
mais d’effleurer son corps l’émoi sans pareil.

La romance éternelle, a jamais dans nos coeurs,
De merveilles, est gravé. S’enlace trace le chemin
serpent perfide slalome dans les méandres des peures
Vérité qui blesse écorche nos calins

toujours le meme
Par fee-seline le Jeudi 30 avril 2009 à 16:10
Jolis poèmes...
D'où te viens cette inspiration monsieur "l'ami mystère" ?
 

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